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🗞 « Le mouvement des Gilets Jaunes nous est arrivé à nous. Mais il serait arrivé d’une façon ou d’une autre. Parce que beaucoup de gens en France se sentent bloqués dans leur vie, ils se sentent dans une profonde rupture d'égalité. Et c’est ce que nous essayons de résoudre. La promesse de la présidentielle, elle est toujours là. Mais nous n’avons jamais dit qu’elle se réaliserait en 18 mois.

Le reste à charge zéro sur le dentaire, l'optique et les prothèses auditives ; les indemnités de chômage pour les gens qui démissionnent ; la suppression d’un impôt socialement injuste comme la taxe d’habitation ; l'investissement sans précédent dans l'apprentissage et la formation pour protéger ceux qui voient leur métier détruit : on n’en parle pas car c’est moins sexy qu’un totem comme l’ISF mais c'est bien là, nous les avons mis en œuvre et nous pouvons en être très fiers. »


La suite de mon interview dans « La Nouvelle République », j'y reviens sur l'année écoulée